Les princes de Tiffauges

Histoire
Ce groupuscule est né dans le années 30. composé à l’époque d’une poignée de dandys hédonistes à la recherche de sensations fortes, il a subi une évolution déplaisante pendant la seconde Guerre Mondiale. Les dandys étaient devenus des fervents collaborateurs et beaucoup ont tué. La Libération et l’épuration ont fait disparaître la plupart des membres de sa première génération.

Le flambeau a été repris par un jeune homme, Maximilien Van Dorgen. Grâce à lui, le culte a poursuivi son activité dans les années 50, puis 60. Après une brève éclipse, le culte s’est reformé dans les années 80.

Doctrine
Les disciples pensent que le sang versé leur ouvrira les portes d’un Au-delà peuplé de démons complaisants prêts à assouvir tous leurs rêves. Ils ne pensent pas qu’il y ait une bonne façon de tuer. Pour eux, plus il y a de mort et mieux c’est !

La plupart des membres se savent même pas pourquoi le culte porte le nom de Tiffauges : ils ne savent plus que c’était le principal château de Gilles de Rais, celui où il commit ses crimes les plus odieux.

Quartier général
Il est itinérant et se déplace avec le chef. il se limite à une cantine pleine de notes codées sans aucun intérêt et se trouve quelque part en Albanie.

Chef
Maximilien Van Dorgen est une force de la nature : deux ètres, cent vingt kilos, des tatouages et des balafres suur chaque centimètre carré de peau. c’est aussi un individu tourmenté et un malade mental. Son film préféré est Apocalypse Now qu’il a tellement vu qu’il en a gardé tous les maniérismes du colonel Kurtz.

Il a été initié au début des années 50 par un écrivain à la réputation douteuse, survivant de la première génération des Princes. Depuis il est passé en Indochine, en Algérie, puis partout où des combats avaient lieu, parfois au service d’une armée régulière, parfois comme mercenaire indépendant. Il a converti des camarades de combat et a fini par se forger sa propre armée privée, entièrement composée de convertis.

Utilisant intelligemment es bénéfices sur les diverses opérations qu’il a conduites en Afrique dans les années 60 et 70, Van Dorgen s’est acheté tout ce qu’il y a de mieux : des hélicoptères, du matériel de communication et des armes...Sans le vouloir, Van Dorgen a atteint son objectif. il a été repéré par un ancien du Culte de Lilith qui lui assure juste assez de magie pour que ses hommes continuent de croire en lui.

Disciples
Ils sont une quarantaine. Ce sont tous des soldats d’élite entraînés dans diverses unités commando avant d’avoir été chassés pour troubles mentaux. Le culte se présente comme une unité de mercenaires très chère et extrêmement efficace. L’ambiance qui y règne est très spéciale : un mélange de camaraderie virile, d’homosexualité latente et de culte du surhomme avec en prime les doctrines démentes de Van Dorgen.

Hauts faits

Adorateurs