Nephilim le Jeu de l’Occulte Contemporain

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Méborack, le monde de l’équilibre : MJ

dimanche 10 octobre 2010, par Didier


Voir en ligne : Description de Méborack

Réservé au Maître de Jeu seulement

Méborack est un monde inspirant avant tout la régularité d’une horloge. Jour et nuit ont une durée égale, et cinq lunes visibles en journée comme en soirée dansent en un ballet fluide. Les habitants de Méborack les utilisent pour mesurer le temps.
La météorologie y est une science particulièrement simple puisque le climat se répète inlassablement : la pluie tombe tous les 10 jours, la neige tous les 6 mois, une tempête traverse l’empire tous les deux ans, à la même date, etc. Toute la végétation est organisée en cycles complexes mais réguliers.

Pourtant cette magnifique régularité, qui semble porter tout l’équilibre de Méborack est d’une extrême délicatesse. Tous les cycles sont liés entre eux, et un acte malheureux déréglant un cycle fragile peut mettre en péril le subtil métronome qu’est ce Monde de Kabbale.

Ce monde est un gigantesque continent circulaire qui flotte sur un océan sans limite. L’Empire de Meborack s’étend selon des cercles concentriques.
A la périphérie du contient se trouve une ceinture de petites îles connues pour abriter des refuges de pirates sans foi ni loi qui tentent vainement de pervertir l’équilibre de Meborack. Sans doute est-ce pour cela qu’on les a rejeté à la périphérie. Une de ces îles, la plus imposante, est couverte par un impressionnant labyrinthe dans lequel vit le Minotaure. Il existe un labyrinthe symétrique sur la face immergée de l’île.
Après un premier périmètre de rivages, le voyageur découvre :
l’Anneau extérieur. Il s’agit d’un ensemble de cités-États de petite taille, circulaires également entourés de champs que cultivent méthodiquement des paysans.
Puis vient une gigantesque étendue de forêt sauvage, l’Anneau Sauvage. Il faut pour le voyageur à pied au moins une semaine pour traverser cet inextricable enchevêtrement ou tissage de ronces, de racines d’arbres hétéroclites.
En sortant de cette forêt démesurée, le kabbaliste entre dans l’Anneau Médian. Celui-ci est fait d’une seconde série de cités-États, distantes les unes des autres de plusieurs centaines de kilomètres, mais reliées entre elles par de gigantesques ponts et aqueducs. La taille de ces cités surprend toujours car elles sont colossales. Concentrant plusieurs millions d’habitants, couvrant des milliers de kilomètres carrés, les vies entières de centaines d’hommes ne suffiraient pas pour arpenter leurs interminables avenues et leurs rues et ruelles labyrinthiques.
Après l’Anneau Médian vient le Désert Lumineux appelé ainsi parce que la blancheur éblouissante de son sable aveugle le voyageur du simple effet de la réverbération du soleil. C’est un désert extrêmement chaud - le seul endroit du continent où il ne pleut pas. Parfaitement hostile, il recèle pourtant mille créatures qui pourront être d’un grand secours au kabbaliste telles que les Sphères du Désert Lumineux.
Enfin, vient le centre de l’Empire, son joyau : le Pic des Palais Sublimes.
C’est un enchevêtrement d’édifices aux fières colonnades qui ont été construits les uns sur les autres, apparemment dans le désordre le plus complet. Des lacs artificiels, portes par de vastes bassins de pierre sont reliés au Palais grâce à des poutres de marbre suspendus dans le vide. et à travers les constructions serpente un réseau complexe d’escaliers étroits. Tous semblent mener au Palais grandiose de Nyamalat, dardant fièrement vers le ciel tours et flèches. Il est toujours extrêmement difficile de trouver le bon escalier permettant d’accéder au centre du pouvoir. Le Pic des Palais sublimes parait totalement instable. Cette intrication improbable des palais est telle qu’un simple coup de vent semble pouvoir tout faire basculer dans le vide. Et pourtant, tout tient mystérieusement en équilibre.

Beaucoup d’éléments architecturaux semblent d’origine grecque.

Organisation sociale
Meborack est administré par une impressionnante armada de fonctionnaires impériaux dont les plus prestigieux sont les Astrochrones. Mais cette administration est décentralisée dans une myriade de cités-États indépendantes. gouvernées par ces mêmes fonctionnaires et des Magistrats élus par une assemblée de citoyens.
Les citoyens sont répartis parmi différents castes. L’unité interne de celle-ci est toujours difficile à déterminer.
Outre les citoyens, il y a les esclaves. Ceux-ci ne sont pas nécessairement dévolus aux tâches ingrates. certains sont même de proches conseillers de l’Impératrice, ou rédigent son courrier qui a force de loi sur tout l’Empire. Cela dit, ils ne peuvent rien posséder et ne participent pas aux assemblées citoyennes.
Les Astrochrones sont les fonctionnaires les plus craints de l’Empire car leurs décisions priment sur toutes les autres, hormis celles de l’Impératrice. Ceux-ci lisent dans les astres quels sont les cycles en cours et accordent le rythme de l’Empire à ces cycles. En outre, ils veillent à la parfaite répartitions des masses à la surface du continent afin d’empêcher que celui-ci ne sombre. Les Astrochrones sont des êtres vêtus de rouge et d’or. Leur main droite est remplacée par une balance et le cadran d’une montre est fichée sur le front (l’horlogerie est la spécialité de Meborack).

En arpentant cet empire de la Perfection, en appréhendant son organisation, modèle suprême de l’agencement cosmique alliant la souplesse d’une structure divisée en une myriade de cités-États indépendantes à la rigidité de l’armature impériale, le kabbaliste découvre un monde où fonctionnaires et magistrats élus par des assemblées citoyennes agissent de concert.
Chaque continent possède le même nombre de Cités-États, chaque Cité-État a le même nombre de citoyen, chaque caste abrite le même nombre de membre. On peut imaginer par exemple qu’un kabbaliste en voulant demander audience auprès de l’Impératrice verrait ses serviteurs lui apprendre que cela serait possible si et seulement si il abdiquait sa liberté et se mettait à son service en tant qu’esclave. Ce ne serait qu’au terme de cent cycles annuels que l’Impératrice viendrait le chercher pour l’amener dans les sous-sols de son palais pour lui permettre de contempler la Balance Cosmique.

Nyamalat tire peut-être son origine des déesses grecques Thémis, Heures (Diké, Eunomie et Eiréné) Astrée (Astrapée) ou encore Tyché.

Cités-États Cités-États 1 Cités-États 2

Etymologie : Meborack (Béni) est le nom du cinéroth reliant Geburah à Hod : il peut venir de Barak (qui signifie bénir, s’agenouiller, être béni, être adoré, faire s’agenouiller, louer, saluer). On retrouve le mot Mobarak en farsi dans l’expression Aide shoma mobarak pour souhaiter une bonne année, Mobarak aurait alors l’idée de Félicitations.

Plan Séphirotique

Malkuth
Gorges Dédalesques
-  Les Gorges dédalesques
[Mythologie] Référence directe à Dédale, l’architecte du Labyrinthe, il s’agit probablement d’un enchevêtrement de voies creusées à même la roche, mais de taille gigantesques (ou du moins conséquentes), pouvant égarer le kabbaliste.

-  Les Portails de flammes
Les Portails de flammes
Portails de flammes 2
[Mythologie] Ce pourrait être une allusion aux deux portes qu’empruntaient Hypnos (Sommeil) et Thanatos (Mort), lesquels séjournaient dans le monde souterrain (Enfers) d’où les rêves montaient vers les mortels. Ils passaient par deux portes, l’une faite de corne, pour les rêves véridiques, l’autre d’ivoire, pour les rêves mensongers.

-  Le Désert lumineux
[Mythologie] Ce lieu fait sans doute référence à la légende d’Héraclès qui voyage en Érythie pour aller voler le troupeau de Géryon, traverse le désert lybien et, si frustré par la chaleur, tire une flèche sur le Soleil. Immédiatement, il réalise son erreur, fond en excuses et en prières. Hélios donne alors à Héraclès la coupelle dorée (coupe/barque faite par Hephaistos) qu’il utilisait pour voyager d’ouest en est, trouvant l’action d’Héraclès très courageuse. Héraclès utilise la coupelle pour arriver en Érythie.
Le désert blanc est un reg du désert Libyque, dans le Nord-Est du Sahara, entre les oasis égyptiennes d’Al-Farafra au sud-ouest et d’Al-Bahariya au nord-est. Il doit son nom à son sol formé de calcaire blanc contrastant avec les ergs environnants de sable jaune. La roche est modelée par l’érosion éolienne en champignons de pierre dont le plus connu est le Doigt de Dieu (nom assez proche du Doigt du Ciel, région de la Sephirah Netzah, en Zakai).

La blancheur éblouissante de son sable aveugle le voyageur par l’effet de réverbération solaire. c’est un désert extrêmement chaud, seul territoire épargné par les précipitations et dont le milieu voit se dresser les Portails de Flammes, lesquels, selon les légendes, plongent jusqu’au centre du monde. Mais pour les franchir, ils faut déjouer ses gardiens, les terribles Véloces. Parfaitement hostile, ce désert recèle pourtant mille créatures qui pourront être de grand secours pour le kabbaliste telles les célèbres Voix Invocantes du Désert Lumineux.

Yesod
-  La Forêt aux Mille Terrasses 10000 Terrasses 1 Plan large 10000 Terrasses 1 Plan median 10000 Terrasses 1 Plan rapproché 10000 Terrasses 2 Jour 10000 Terrasses 2 Nuit 10000 Terrasses 3 10000 Terrasses 4

On peut y voir l’évocation du site de Pamukkale, en Turquie : des sources d’eau chaude saturées de calcaire ont modelé un étrange paysage, le « château de coton ». Des vasques s’imbriquent et se superposent à ciel ouvert, cascadant le long d’une falaise et frangées de stalactites d’un blanc éclatant. Au sommet de la butte de Pamukkale, la ville thermale de Hierapolis, fondée par Eumène II, roi de Pergame, était dédiée à Pluton et Apollon. Le temple d’Apollon, construit sur une faille géologique, communiquait avec le Plutonium (temple de Pluton), c’est-à-dire le sanctuaire de Pluton, dieu des Enfers. Ce sanctuaire jouissait d’une grande notoriété. De son accès émanaient des gaz suffuquants.

Cette région peut vaguement évoquer le site du Palais de Cnossos. En effet, le site de Cnossos est un ensemble complexe de plus de 1300 pièces imbriquées. Il apparaît comme un labyrinthe de salles de travail, d’espaces de vie, et de magasins à proximité de la place centrale. Il est évident qu’il servait à la fois de centre administratif, de centre de stockage des denrées et de centre religieux. Le palais était sans aucun doute le centre cérémoniel et politique de la civilisation Minoenne et de sa culture. Pour plus de détails, consulter le site http://antikforever.com/Grece/Minoens/cnossos.htm

-  Le Temple oublié

-  La Plaine de Thau
[Légende] Hérault : la cité engloutie de l’étang de Thau
La légende veut que par temps clair, il soit possible d’apercevoir le clocher d’une église, dans les eaux de l’étang de Thau. Une église qui ferait partie des vestiges d’une mystérieuse cité engloutie. Il paraîtrait même que, par temps de brume, on puisse en entendre sonner les cloches. Cette légende plonge ses racines dans l’époque romaine. Et plus particulièrement dans Ora maritima, un ouvrage que l’on doit au géographe romain Rufus Festus Avienus. Ce dernier décrit, lors d’un périple (entre 350 et 355 après J. C.) dans le secteur de l’étang de Thau, une cité nommée Polygium. Une "pauvre et petite cité barbare", selon ses termes.

Car une nuit de solstice, la terre aurait croulé dans un meuglement sourd -suite à l’éruption du volcan d’Agde, et l’étang a alors recouvert temples et palais. Mais où se trouve cette cité engloutie ? Dans l’anse de Sète, où des murs d’aqueduc semblent s’enfoncer dans l’étang ? Pour le savoir vraiment, il faut suivre les daurades royales. Lorsque ces poissons se mettent en ligne, les arcs dorés de leurs fronts forment un escalier d’or... qui mène à l’entrée de la ville engloutie.

À la fin des années soixante-dix l’archéologue Denis Fonquerle découvre, par deux mètres de fond, les vestiges d’un hameau de cabanes de roseaux. Des demeures sur pilotis, constitués de chêne vert. Étaient-ce bien, là, les ruines de la cité engloutie, non pas par quelque cataclysme, mais tout simplement par la montée des eaux ? En tout cas, point d’église, donc point de cloches. Mais le rêve et les légendes sont plus fortes que la réalité.

Hod
-  Le Sanctuaire drapé
[Laërte ? Pénélope ? Arachnée ?] [Référence à la Libye antique et à la Nebula, le tissu le plus recherché ?]

-  L’Île perdue de Cythère
Cette région peut renvoyer à la figure d’Aphrodite, née de l’écume des vague et de la semence d’Ouranos. Cythère portant l’un des plus anciens temples de la déesse de l’amour.
Le mythe d’Andromède renvoie également aux déesses Aphrodite, Ishtar, Astarté, Hésioné. Son enchaînement, nue, -suite aux propos de Cassiopée- pour l’offrir en gage d’apaisement et de pardon à Poséidon par l’intermédiaire du Kraken peut refléter une autre réalité : (pouvant faire référence dans les contes au dieu Marduk), Ce peut être Hermes lui-même qui a enchaîné Aphrodite après qu’elle ait volé la lame de l’Arcane V et commandité/participé à l’enlèvement d’Hélène, une des plus brillantes disciples d’Hermes et favorite du Roi de l’Orage.

-  La Grotte des Gorgones
[Mythologie] Cette région fait référence au Mythe de Persée, qui entreprit de rencontrer les Grées, trois sœurs et filles aînées de Phorcys et de Céto - Dino (Δεινώ / Deinố : la terrible, l’effrayante), Ényo (Ἐνυώ / Enuố : la guerrière, la belliqueuse) et Pemphrédo (Πεμφρηδώ / Pemphrêdố : la méchante)- seules à connaître l’emplacement des repaires des Gorgones et des Nymphes du Styx. Les 3 sœurs grises résident dans une grotte au pied du mont Atlas, possèdent un œil et une dent qu’elles se partagent. Certains disent qu’elles ressemblent à des vieilles femmes ridées, d’autres qu’elles ont le corps de cygnes.
Les nymphes du Styx sont détentrices d’une serpe/faucille sacrée capable de décapiter la seule Gorgone mortelle, Méduse. Elles ont aussi accès au casque sombre (celui d’Hadès) censé rendre son porteur invisible ainsi qu’à une besace magique en peau de grue, seule capable de contenir la tête et le sang de Méduse.
Les Gorgones sont les sœurs cadettes des Grées : Sthéno (Σθεννώ / Sthennố, « puissante »), Euryale (Εὐρυάλη / Euruálê, « grand domaine »), et la plus célèbre, Méduse (Μέδουσα / Médousa, « dirigeante »), qui était mortelle, contrairement aux deux autres qui ne connaissaient ni la mort ni la vieillesse.

Cette étape symbolise la perte du pouvoir politique et religieux féminin, l’usurpation du pouvoir de la déesse-Lune et le remplacement du système matriarcal au profit de celui des hommes.
Hermes/Perseos (le destructeur), autre attribut du messager de la mort, rendit visite en premier lieu aux Grèes qui lui accordèrent les dons d’intelligence -de la connaissance de l’alphabet (l’œil)- comme celui de la divination (la dent), puis aux Gorgones pour les affronter/leur demander leur protection et leur aide, pour se rendre dans leur bois sacré afin de récupérer un de leur champignon sacré (amanita muscaria) qui entre dans la composition de l’Ambroisie. (On retrouve un lien avec ce champignon avec les Centaures, Satyres et Ménades sous l’effet hallucinogène de cette substance qui seront mis en déroute par le seul Lycurgue, Persée qui a baptisé la ville de Mycènes en référence à un champignon, et Ixion représenté avec un champignon sur un bouclier. D’autre part, la décapitation de monstres cf plus loin peut symboliser la séparation entre le chapeau et la tige du champignon, l’usage étant de ne pas consommer cette dernière)
Cela peut représenter la période du Tutorat Élémentaire, et plus précisément celle du premier Magistère de Lune ainsi que les escalades de haine ayant conduit aux Cruxim. (Persée décapite Méduse, Bélérophon décapite Chimère)
A cette époque, Persée/Hermes (tous deux portants des sandales ailées) peut être un disciple de Dionysos. (Après la parabole de Tantale/Prométhée puni pour avoir partagé l’Ambroisie (connaissance/immortalité, réservée aux dieux avec des gens communs, donc des mortels) et la perte du sacré de la royauté (Orichalka, Destruction de l’Atlantide, l’Ambroisie devient l’élément secret des Mystères de Dionysos). Seuls les Nephilim les plus perspicaces comprendront dès les premiers sephirots le lien entre Satyres, Ménades, Centaures et Meborack... En effet, dans la mythologie, ces trois types de créatures vénéraient Dionysos, paradant durant les fêtes en son honneur, les Ambroisiades. Dionysos, disciple de Prométhée souhaitant autant que son maître libérer les humains et faire leur enseignement ésotérique. Cette concorde durant laquelle Kaim et Nephilim aurait pu perdurer a été cristallisée en Meborack.

Netzah
-  Les Ruines maudites de Cassandre Les Ruines maudites de Cassandre
[Mythologie] Cassandre, fille de Priam et d’Hécube - roi et reine de Troie.-, était connue pour sa très grande beauté, « semblable à l’Aphrodite d’or » nous dit Homère, ce qui amena Apollon à tomber amoureux d’elle. Il lui accorda le don de prophétie en échange de leurs futurs ébats. Cassandre accepta le don mais se refusa au dieu. Apollon lui cracha à la bouche, ce qui l’empêcherait à jamais de se faire comprendre ou d’être crue, même par sa propre famille. Elle connaîtra un destin funeste à cause de Clytemnestre, mais elle ne regrettera pas de mourir, ayant vu la fin de toute sa famille.

Gustav Hinrichs voyait en Cassandre une contrepartie d’Hélène de Troie, elle-même double humain de la déesse Aphrodite. Selon Paul Wathelet, elle s’identifie à la déesse Alexandra, connue en Laconie et en Daunie, « où elle est invoquée par les jeunes filles qui veulent se débarrasser d’un fiancé non souhaité ». Son nom a été interprété comme « celle qui écarte les hommes ». Wathelet rappelle que tous les hommes qui l’ont approchée ont eu un destin funeste : Othryonée et Corèbe qui meurent misérablement, Ajax qui est foudroyé, Agamemnon qui est assassiné. Pour Jean Haudry, elle est « celle qui fait le malheur des hommes », initialement par le blâme. Ainsi, ce mythe évoque le désir profondément ancré dans l’homme, celui de connaître l’avenir, mais impossible à satisfaire.

-  L’Océan de l’éternel retour

Cette notion est expliquée dans le livre éponyme de Mircea Eliade où il étudie le concept de réalité dans les sociétés dites primitives et archaïques indo-européennes. Il part du principe que dans ces sociétés un objet ou un geste n’est réel que parce qu’il répète une action effectuée in illo tempore, c’est-à-dire à une époque mythique, originelle. Il acquiert un sens parce que le rituel, qui fait référence à un archétype, le lui confère en le dotant d’une fonction ou d’une force sacrée. Seul ce qui est sacré est réel. Par conséquent, tout ce qui n’entre pas dans le cadre d’un rite archétypal n’existe pas. Ce même phénomène apparaît dans la géographie et en particulier dans la situation des temples : ils doivent eux aussi se rapporter à un lieu sacré, à un modèle céleste qui leur est antérieur. Les rites permettent d’annuler le temps (intention anti-historique)

Toute la vie d’un homme ne répète pas un acte primordial. Selon le même principe, de nombreux lieux n’ont pas de modèles célestes ; ils sont hors du Cosmos et appartiennent donc au Chaos. Ils n’ont pas d’existence réelle puisque le Chaos précède la Création du Cosmos. Il est toutefois possible de rendre sacré un lieu en accomplissant « des rites qui répètent symboliquement l’acte de la Création ». Celle-ci a eu lieu à l’endroit où se rencontrent le ciel et la terre : le Centre du monde. Ainsi, toute création humaine se rapportant à la cosmogonie devient à son tour un Centre puisqu’elle répète la Création. Le fait qu’un temple se trouve, selon cette logique, au Centre n’empêche pas les autres sanctuaires de s’y trouver aussi.

Eliade constate « qu’il existe partout une conception de la fin et du début d’une période temporelle, fondée sur l’observation des rythmes bio cosmiques. La fin du monde, ou Ekpyrosis (L’Incendie cosmique) détruit tout (Conflagration universelle), puis y succède l’Apocatastase (la regénération du monde, une Création nouvelle) soit par le feu, soit par l’eau. Sont associés à cela la notion de descentes des âmes (Porte du Cancer/Borée) et de montée des âmes (Porte du Capricorne/Notos). Cette notion permet aussi de justifier les souffrance inhérentes à l’existence, si celle-ci doit se répéter toute l’éternité, il faut donc payer un tribut en retour.

-  L’Archipel des Palais perchés L'Archipel des Palais Perchés
Les Palais Perchés 5

[Origine ?] Les Météores (en grec moderne : Μετέωρα) sont une formation géologique du Nord de la Grèce, en Hestiotide, dans la vallée du Pénée. Ils abritent des monastères chrétiens orthodoxes (en grec moderne : Μετέωρα Μοναστήρια, « monastères suspendus au ciel ») perchés au sommet de falaises et pitons rocheux gris, sculptés par l’érosion.

Dans la mythologie grecque, la région était réputée avoir été une des patries du peuple des Lapithes (en grec ancien Λαπίθαι / Lapíthai). Au vu des traces d’occupation (remontant jusqu’à l’Antiquité) le site a pu servir ponctuellement de refuge aux villageois et bergers des environs lors des invasions celtiques (IIIe siècle av. J.-C.), gothiques (IVe siècle), slaves (VIIe siècle), bulgares (IXe siècle) ou turques (XIVe siècle). En revanche, aucune trace de sanctuaire antique n’a été trouvée sur le site.

Dans la mythologie grecque, la tribu des Lapithes (en grec ancien Λαπίθαι / Lapíthai) habitait le nord de la Thessalie, établie entre la Phthiotide, le mont Olympe, le Pinde et la Perrhèbie.
Leur nom viendrait de Lapithès, fils d’Apollon et demi-frère de Centauros, éponyme fondateur du peuple des Centaures. Le nom de Centaure, ou plutôt l’épithète centauros, était donné à ceux des Lapithes qui pouvaient s’offrir l’entretien d’un cheval, et s’adonner à la chasse aux taureaux. Les Centaures sont donc initialement une classe de nobles lapithes : ils n’avaient pas de roi, contrairement à l’autre peuple. La nation lapithe trouve son origine chez les Pélasges, qui auraient fondé la colonie d’où serait issue la nation lapithe.

L’un de leurs rois fut Pirithoos, fils et successeur du roi Ixion, demi-frère des centaures, qui refusa de donner leur part d’héritage aux centaures : une guerre s’ensuivit.
Après le drame des noces de Pirithoos, les Lapithes, en punition pour le massacre des centaures, furent condamnés à subir un châtiment au Tartare. Selon Apollodore, ils étaient roués ou démembrés éternellement, selon une autre version, ils subissaient le même supplice que Tantale.

Tipheret
-  L’Île du Labyrinthe
[Mythologie] Le Minotaure est une bête mythique qui fait partie des légendes grecques, né des amours de Pasiphaé (épouse du roi Minos) et d’un taureau blanc. Il avait un corps humain et une tête de taureau. Le roi Minos de Crète, ayant refusé d’offrir en sacrifice à Poséidon un taureau blanc, son épouse Pasiphaé fut maudite par Poséïdon. Elle devint follement amoureuse de la bête et chercha le moyen de s’accoupler avec elle. Dédale lui ayant confectionné un déguisement de vache elle parvint à ses fins. Minos, humilié de la progéniture à corps d’homme et à tête de taureau qui en résulte, fait construire par Dédale, le labyrinthe (situé au centre de la Crète) où il le fait enfermer, afin que le Minotaure ne puisse s’en échapper et que nul ne découvre son existence. Tous les neuf ans, Égée, roi d’Athènes, sera contraint de livrer sept garçons et sept filles au Minotaure qui se nourrira de leur chair humaine. Cependant, Thésée, le fils d’Égée se trouve parmi eux, tue le Minotaure et parvient à s’échapper du labyrinthe avec l’aide d’Ariane qui lui a fourni un fil qu’il déroulait derrière lui et qui lui permit de retrouver la sortie.

Comme on peut le constater, le contexte duquel est issu le Minotaure est très tourmenté, voire chaotique. Et ceci n’est pas dû au hasard bien-sûr. Car le Minotaure est avant tout un symbole des forces chaotiques liées au monde souterrain, c’est le monde obscur des forces telluriques qui s’expriment au travers de ce monstre. Lorsqu’on connaît la très haute ancienneté des cultes de l’île de Crète, on peut raisonnablement supposer que la figure du Minotaure remonte à la plus haute préhistoire, à une époque antérieure aux Indo-Européens. Le roi Thésée représente quant-à lui le héros solaire typiquement indo-européen, il incarne la force divine ouranienne qui vient vaincre l’obscurité chaotique des forces chtoniennes. De nombreux parallèles existent dans différents mythes issus de la tradition indo-européenne : Siegfried terrassant le dragon Fafnir et Apollon tuant le serpent-dragon Python pour n’en citer que deux.

Le Minotaure représente aussi l’inconscient refoulé de l’être humain, toute cette partie obscure et incontrôlée de l’inconscient. Le héros solaire à ce titre est une figuration du conscient et de la raison. Le fil d’Ariane symbolise quant à lui l’aide spirituelle indispensable pour revenir à la lumière, il est le lien qui unit le héros et l’ordre ouranien. Par ailleurs, il est évident que le Minotaure a hérité en partie du symbolisme du taureau.

Le symbolisme du labyrinthe est assez complexe, il représente un enchevêtrement de chemins dont certains sont sans issue, à travers lesquels il s’agit de découvrir la route qui conduit au centre (Macrocosme->microcosme, introspection). Les plus anciens modèles de labyrinthes remontent aux grottes de la préhistoire, les reliant ainsi aux cultes de la Terre-Mère et au symbolisme de la grotte. Le labyrinthe représente un voyage initiatique vers le centre spirituel. Pendant ce parcours, l’initié doit faire preuve de bonne intuition et faire confiance à son inconscient afin de surmonter les obstacles et les impasses. Une fois arrivé au centre, l’initié atteint un nouveau stade de conscience qui l’intègre aux secrets de la Terre-Mère et de son propre être. L’harmonie entre la grande Déesse et l’initié est alors accomplie. Le labyrinthe conduit également à l’intérieur de soi-même, principe selon lequel on rejoint la célèbre inscription du temple d’Apollon à Delphes : « Connais-toi toi-même, et tu connaîtras l’univers et les Dieux ».

Dans l’antiquité, le labyrinthe fut également utilisé aux portes de certaines villes comme un système de défense, système qui annonce qu’en son centre se trouve quelque chose de précieux, mais que le cheminement ne se fait pas sans grandes difficultés, car il est réservé aux seules personnes autorisées. L'Île du Labyrinthe

-  Le Palais du Roi aux mains d’or
[Mythologie] Midas était le roi de Phrygie et sa vie était sans grande histoire particulière, jusqu’à ce qu’il dévoilé son côté irréfléchi. Un jour, on lui amena enchaîné le satyre Silène, qui en suivant le cortège du dieu Dionysos s’était égaré puis endormi. Midas fit libérer immédiatement le satyre et le rendit à Dionysos, qui pour le remercier lui accorda un vœu.
Midas demanda bêtement que tout ce qu’il touche se transforme en or. Le problème fut que cela concerna également les aliments et il ne pouvait plus manger et boire. Il alla très vite trouver Dionysos, qui était ravi de la leçon qu’il lui avait donné. Pour rompre le vœu, il lui dit simplement de se purifier dans le fleuve Pactole, dans lequel on trouva par la suite des pépites d’or.

-  Les Vignes géantes de Silène
[Mythologie] Silène est qualifié de « fils d’Hermès », comme le sont souvent les satyres, mais d’autres traditions en font le fils de Pan et d’une nymphe, ou de Pan et de Gaïa (la Terre), voire, selon Nonnos, de Gaïa fécondée par le sang d’Ouranos mutilé. On le fait naître à Nysa, en Asie.
Satyre, il est le père adoptif et le précepteur du dieu Dionysos, qui l’accompagne sans cesse. Il est en outre le dieu personnifiant l’Ivresse, assez proche en ce sens de deux autres divinités mineures faisant l’une et l’autre partie du cortège de Dionysos, Comos (la bonne Chère) et Coros (la Satiété), qu’Hérodote1 fait naître d’Hybris (la Démesure).

Il est censé avoir participé à la Gigantomachie. On lui attribue, de pair avec Marsyas, l’invention de la flûte, ainsi que l’invention d’une danse particulière, qu’on nomme en son honneur le silène. Tous les poètes se sont divertis à nous peindre la figure, le caractère et les mœurs de Silène ; à les en croire, il était ventru, ayant la tête chauve, un gros nez retroussé, et de longues oreilles pointues, étant tantôt monté sur un âne, sur lequel il a bien de la peine à se soutenir, et tantôt marchant appuyé sur un thyrse ; c’est le compagnon, et le premier lieutenant de Bacchus ; il raconte, dans le cyclope d’Euripide, qu’il combattit les géants, à la droite de son maître, tua Encélade, et en fit voir les dépouilles au dieu, pour preuve de sa valeur ; le voilà donc, malgré sa figure burlesque, travesti en grand capitaine.

Je sais bien qu’il s’attribue le nectar et l’ambroisie, comme s’il était un dieu céleste ; mais je sais encore mieux par mes lectures, qu’il n’en aimait pas moins la boisson des pauvres mortels, et qu’il s’en donna à cœur joie, à l’arrivée d’Ulysse dans l’antre du cyclope ; personne n’ignore que les vignes sont appelées ses filles, et dans Pausanias l’Ivrognerie même lui verse du vin hors d’un gobelet.

Cependant Virgile, dans une de ses plus belles églogues (la sixième, que M. de Fontenelle n’a pas eu raison de critiquer), ne représente pas seulement Silène comme un suppôt de Bacchus, mais comme un chantre admirable, et qui dans sa jeunesse avait fait de bonnes études philosophiques.

Gebourah

-  Les Mines d’Adamante
[Mythologie] Cela renvoie à l’exploitation de mines pour trouver un filon d’Adamante (adamas/adamantine : l’invincible, l’imprenable), matériaux le plus dur qui soit, dit que Chronos, le dieu du Temps avait transformé un jeune homme appelé Diamant en pierre précieuse. Sous le règne des pharaons, il symbolisait le soleil, dieu vénéré, symbole de vérité, de force et de courage et on l’intégrait au centre de la croix ansée du signe Ankh, hiéroglyphe signifiant “la vie”.

-  Le Palais d’Onyx
[Mythologie] Le nom de d’« Onyx » est tiré d’une légende de la mythologie grecque : un jour, alors que Venus dormait, Cupidon lui coupa les ongles avec le bout de ses flèches et laissa les rognures dispersées sur le sol. Les Parques les ramassèrent et les transformèrent en une pierre fine car ce qui provient d’un corps céleste ne peut périr.
Pour les Romains, l’onyx était le matériau idéal pour graver les sceaux. Cela est surtout dû à sa propriété de ne pas coller à la cire utilisée pour sceller les missives et les courriers de l’époque. Dans les temps anciens, on se servait de l’onyx pour se protéger des forces du mal. Au Moyen-Âge, en revanche, l’onyx faisait partie de ces pierres qui ont acquis une mauvaise réputation.

-  La Chaussée d’Onyx

La chaussée est si colossale qu’il est impossible d’apercevoir le palais au loin. Rares sont ceux qui peuvent témoigner de ce que recèle cet endroit, les Nephilim qui ont pu passer outre le zèle des Sentinelles Voilées ne sont jamais revenus pour en témoigner.

Chesed
-  La Cité flottante de Chalcédoine La Cité flottante de Chalcédoine
[Origine ?] Faisant probablement référence ) la Chalcédoine (en grec ancien Χαλκηδών / Khalkêdôn), une cité grecque de Bithynie (actuellement en Turquie) située sur la mer Propontide, à l’entrée orientale du Bosphore, face à Byzance et au sud de Chrysopolis (Scutari, actuellement Üsküdar). Elle s’appelle aujourd’hui Kadıköy (du turc Kadı, juge et köy, village, peut être traduit par « village du juge ») et est devenue une banlieue (résidentielle et plutôt aisée) d’Istanbul, dans le prolongement d’Üsküdar.

[Religion] Cela renvoie à la notion d’Hypostase et de « miaphysisme » (une nature du Christ, à la fois divine (Nephilim) et humaine : un Christ de deux natures), notion mise en avant durant le Concile de Chalcédoine. nature christique

Cela (la spécificité "volante") peut faire référence à la nature divisée d’Emmanuel/Jésus.

Reconstitution d’édifices de Byzance : http://www.byzantium1200.com/contents.html

-  L’Île au Palais mordoré [Mythologie] Hélios séjournait volontiers en Ethiopie ou dans l’île d’Aéa ; il habitait un palais aux colonnes d’or et de bronze ornées d’ivoire qui abritait un somptueux trône entouré de diverses personnifications de la division du temps.

-  La Cascade chromatique
Cascade chromatique
[Mythologie] Pourrait évoquer la fontaine d’Arcadie, dont la maîtresse était Styx, qui était mortelle pour les humains à cause du froid extrême de ses eaux.
La composante chromatique peut renvoyer à l’Arc-en-ciel, donc la déesse Iris.

Binah
Sephirah des malédictions et des punitions, ses régions semblent représenter les Enfers grecs/
-  Les Geôles Fuligineuses
Ce sont une référence vague à une prison obscure, nous pouvons l’assimiler à Erebe région souterraine des Enfers la plus proche de la surface, toujours noyée dans un brouillard noir. Cela peut être aussi directement le Tartare, où les plus grands criminels sont captifs.

-  La Cité aux Trois Murs d’Airain La Cité aux Trois Murs d'Airain
Renvoie directement au Tartare, endroit le plus profond et le plus sombre des Enfers. À l’intérieur de sa triple enceinte, il renferme les criminels célèbres. Lieux où l’on expie ses fautes par le repentir, prison des dieux déchus, où se pratiquent tortures physiques et psychologiques.
C’est une région aride, monotone, sans vie avec des étangs glacés, des lacs de soufre ou de poix bouillante, où baignent les âmes malhonnêtes, entourée de fleuves aux eaux boueuses, de marécages aux odeurs nauséabondes qui sont infranchissables.

Cela peut également faire références aux triples enceinte en général, dont celles de Byzance/Constantinople. Les murailles de Constantinople sont une série de remparts défensifs qui entourent et protègent la cité de Constantinople (aujourd’hui Istanbul en Turquie) depuis sa fondation par Constantin Ier comme la nouvelle capitale de l’Empire romain. Au travers de divers ajouts et modifications tout au long de son histoire, elles sont le dernier grand système de fortification de l’Antiquité et l’un des systèmes défensifs les plus complexes et les plus élaborés qui aient existé.
D’abord construits par Constantin le Grand, les murs entourent la nouvelle cité de tous les côtés, la protégeant à la fois d’une attaque par terre ou par mer. Alors que la cité grandit, la célèbre triple enceinte défensive des murs théodosiens est construite au Ve siècle. Bien que les autres sections soient moins élaborées, quand les murs sont bien pourvus en effectifs, ils sont quasiment imprenables pour n’importe quel assiégeant médiéval.

On peut également y déceler une évocation de l’Atlantide selon Platon. En effet, le philosophe décrit dans le Critias les fortifications de la capitale atlante :
"La hauteur sur laquelle elle (Clitô) habitait, il (Poséidon) en abattit tout alentour les pentes pour un faire une solide forteresse, établissant les uns autour des autres, de plus en plus grands, des anneaux de terre et de mer, deux de terre et trois de mer, lesquels étaient, comme avec un tour de potier, de tous côtés équidistants du centre de l’île, rendant ainsi inaccessible aux hommes l’île centrale : il n’y avait encore en effet ni navires, ni navigation."
(Ultérieurement, un canal sera percé jusqu’à la mer et des ponts enjamberont les anneaux d’eau, rendant ainsi accessible l’île sacrée, par terre ou par mer.)
Cette idée de triple enceinte semble particulièrement importante et originale. Une sorte de signature de "marque de fabrique" de toute construction estampillée "Atlantide". Il ne semble pas très important que ces anneaux soient d’eau ou de pierre, soient circulaires ou carrés car le symbole est ici essentiellement supporté par l’idée de "concentricité" trinitaire (ou même quinaire si l’on considère que, de terre ou de mer, chaque anneau participe à l’enceinte.)

Le site http://atlantides.free.fr/triple.htm propose également d’autres site pouvant receler une triple enceinte, comme le fort de Dún Aonghasa sur l’île d’Inis Mor, la ville aztèque de Tenochtitlan, le temple d’Angkor-Vat, la ville de Jéricho et Stonehenge.

-  La Plaine du Chrysolithe
Renvoie à l’aérolithe de Thera / Santorin ? ou tout simplement à Orichalka (invoquée par Prométhée).

Hockmah
-  L’Amphithéâtre des Juges impérissables L'Amphithéâtre des Juges impérissables

-  Le Parc aux statues vivantes

-  Les Palais Sublimes Le Pic des Palais Sublimes

Kether
-  Les Trois Sommets Lumineux
-  Les Passerelles d’Albâtre
-  Le Palais de Nyamalat Le Palais de Nyamalat

Portfolio

Les Palais Perchés Les Palais Perchés 2 Les Palais Perchés 3 Les Palais Perchés 4 Les ruines maudites de Cassandre 2 Les ruines maudites de Cassandre 3 Forum grec Forum grec 2 La grotte des Gorgones La grotte des Gorgones 2 La grotte des Gorgones 3

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