L’affrontement des Atrides et des Podarcides fut le dernier acte du Compact d’Aïon, l’union des Nephilim méditerranéens. Cette union instable, centrée initialement sur Cnossos, était fragilisée depuis la destruction de la ville, un siècle plus tôt. Les survivants, éparpillés de la Grèce à la Turquie, se divisaient en familles qui se disputaient la suprématie de la région. Les cultes des Mystères tentaient les familles en les poussant à s’anéantir.
Les Atrides, centrés sur Mycènes, et les Podarcides, centrés sur Troie, étaient issus de lignées Nephilim différentes : les Atrides étaient très influencés par le Roi de l’Orage (Le Pape) et avaient reçu le soutien d’Apollon, Prince du Chariot.
Les Podarcides descendaient d’une civilisation millénaire d’Hydrim qui avaient dominé jusqu’à l’avènement du Compact d’Aïon. La civilisation mycénienne était un carrefour d’idées très riches, propice à l’étude. Une des élèves les plus brillantes d’Hermès Trimégiste, une naïade nommée Hélène, fut enlevée par une des figures d’Aphrodite, car le Roi de l’Orage allait en faire sa favorite et lui attribuer la figure de la Beauté dans le panthéon.